LEPAGE 1853

Site portail François MUNIER

Précédente Accueil Remonter Suivante

LES COMMUNES 

DE LA MEURTHE

JOURNAL HISTORIQUE DES VILLES, BOURGS, VILLAGES, HAMEAUX ET CENSES

DE CE DÉPARTEMENT

PAR HENRI LEPAGE

NANCY 1853

LAITRE-SOUS-AMANCE. Ce nom de Laître, (l’aître, atrium) paraît provenir d’un vaste cimetière qui aurait été établi au bas de la montagne, et qui aurait servi aux villages voisins, ainsi que c’était autrefois la coutume. A une époque fort reculée les villages de Lay-Saint-Christophe, Eumont, Blanzey ,Laître, Séchamps, le château et la ville, ou pour mieux dire le bourg d’Amance, dépendaient pour le spirituel de l’église de Dommartin, qui se trouve placée à peu près au milieu de ces différentes localités; et le cimetière de Laître était probablement celui de cette immense paroisse. Quoi qu’il en soit, nous ne savons pas à quelle époque eut lieu ce changement de nom, et au commencement du XIIe siècle, Laître s’appelait encore Sainte-Marie-sous-Amance.

Thierry 1er, comte de Bar, qui était maître du château d’Amance, commença, peu de temps avant sa mort, la construction d’une chapelle au-dessous du château; il voulait la faire consacrer sous l’invocation de saint Sigismond. Sa mort, arrivée en 1024, l’empêcha d’accomplir son projet. Ce fut seulement un demi-siècle après, en 1075 ou 1076, que la célèbre comtesse Sophie, petite-fille de Thierry, résolut de terminer la fondation ébauchée par ce prince. Comme la chapelle commencée vers l’année 1022 était trop petite, Sophie ordonna de la raser complètement et d’en élever autre; qui fut bientôt achevée. Elle la donna à l’abbaye de Saint-Mihiel, avec la chapelle d’Amance, et pria Pibon, évêque de Toul de procéder à la consécration de la nouvelle église; mais Hodierna, abbesse de Sainte-Glossinde de Metz, y mit opposition et fit observer que la cure de Dommartin appartenait à son monastère, que Laître dépendait de Dommartin, et qu’un démembrement de cette juridiction ne pouvait s’opérer que si elle y donnait son consentement. Sophie, qui ne pouvait méconnaître la justice de cette réclamation, engagea l’évêque de Toul et Hériman, évêque de Metz, à ménager une transaction. Cette transaction eut lieu; Sophie abandonna à l’abbaye de Sainte-Glossinde quelques cens à Lay-Saint-Christophe, trois serfs nommés Arenfrid, Badin et Lampihon, avec les terres que ceux-ci cultivaient, une forêt à Ingeviller (Eingweiller?) et trente livres messines. Il n’y plus alors aucune opposition à la consécration de l’église de Laître; Pibon y procéda en 1085 ; l’église fut dédiée à sainte Marie, et la comtesse de Bar, pour récompenser l’évêque de ses bons offices, confirma la donation faite par ses prédécesseurs à l’église de Toul d’une maison située de la porte d’Amance.

L’année suivante (1086), l’évêque de Toul, à la prière de la comtesse Sophie, donna une seconde charte, par laquelle il faisait connaître que l’église de Sainte-Marie-sous-Amance était libre et franche de toute juridiction, et que les habitants de Lay-Saint-Christophe, d’Eumont, de Blanzey, de Séchamps et d’Amance dépendraient à l’avenir de cette église et non de l’église de Dommartin.

Sigefroi, qui était alors abbé de Saint-Mihiel, se hâta de fonder un prieuré près de l’église de Laître et y envoya quelques-uns uns de ses religieux. Au reste; ce prieuré fut toujours peu considérable. En effet, la comtesse Sophie ne lui avait donné que quatre manses, un serf, deux serves, les dîmes grosses et menues du château et du bourg d’Amance, les cens et les dîmes des places vides, des défrichements et des fonds seigneuriaux. Les Bénédictins de Laître exercèrent une heureuse influence dans ce canton, dont les habitants, ceux d’Amance au moins, étaient si grossiers et si violents que jamais, au dire de l’évêque Pibon, aucun archidiacre, aucun doyen n’avait osé y faire de visite, pour réformer les abus (et quia illi de Asmantia duri et feroces semper extiterant, ita ut archidiaconus vel decanus aliquis oppidum eorum tam causa minime auderet intrare). (H. L.[1])

Dans une charte datée de 1102, Ricuin, évêque de Toul, atteste que le comte Frédéric a donné, en sa présence, à l’abbaye de Saint-Mihiel, pour son salut et celui de ses ancêtres, l’église de Sainte-Marie-sous-Amance, avec la chapelle du château et toutes les dîmes grosses et menues du château et du bourg, l’exception de celles qui appartenaient à l’abbaye de Sainte Glossinde et l’église de Dommartin, le tout à l’usage des moines que l’abbé Odelric avait mis dans ladite église.

Vers la même époque, Frédéric, comte de Ferrette, adresse à son frère Renaut, comte de Mousson, et à Hillin, archevêque de Trèves, des lettres par lesquelles il les prie de défendre les droits, privilèges et exemptions du prieuré de Laître-sous-Amance, qu’il a donné à l’abbaye de Saint-Mihiel, et les religieux que l’abbé de Saint-Mihiel y a envoyés, le premier au jour qui lui a été fixé par l’évêque de Toul, le second toutes et quantes fois on les attaquera.

En 1137, Etienne, évêque de Metz, donne une charte par laquelle il confirme et renouvelle, après toutes les informations requises, la donation que Frédéric, comte de Ferrette, son frère, avait faite à l’abbaye de Saint-Mihie1 de l’église de Sainte-Marie de Laître sous-Amance.

En 1147, le pape Eugène III confirme la fondation et toutes les possessions de l’abbaye de Saint-Mihiel, nommément le prieuré de Laître-sous-Amance (cellam Asmantiae cum omnibus appendiciis suis).

Vers 1160, l'Archevêque Hillin, légat du Saint-Siège, déclare que les différents qui s'étaient élevés entre Manegandus, abbé de Saint-Mihiel et Agnès, abbesse de Sainte-Glossinde, touchant les dîmes d'Amance, qui appartiennent à la paroisse de Dommartin, ont été terminés; et de peur que l'abbaye de Saint-Mihiel et le curé de Dommartin ne se brouillent de nouveau à cause de l'église de Sainte-Marie de Laître-sous-Amance, qui appartient à la dite abbaye, il défend à ce curé et à son vicaire, sous peine d'anathème, de ne faire aucune fonction pastorale dans cette église sans le consentement de l'abbé de la même abbaye.

En 1280, le duc Ferry III quitte au prieuré de Laître quatre septiers de vin, deux chapons, et douze toulois que ce prieuré lui devait de cens, et cela pour l'indemniser des torts qui lui avaient été faits, par lui et ses gens, et pour le salut de son âme et de ses ancêtres.

En 1382, Pierre, abbé de Saint-Mihiel et ses religieux, engagent le prieuré de Laître et tous ses revenus, de quelque espèce qu'ils soient, à Guillaume, Prieur de Maresco, ordre de Saint Augustin, au diocèse de Besançon, pour toute sa vie, moyennant 200 livres tournois, et aux charges suivantes: 1° qu'il fournira tout le nécessaire à un religieux de Saint-Mihiel qui résidera audit prieuré, ou qu'il lui donnera tous les ans, au cas où sa compagnie lui déplaise, vingt livres tournois en quatre termes ; 2° qu'il mettra dans le même prieuré et y entretiendra continuellement huit bœufs et un cheval pour en labourer les terres ; 3° qu'il donnera, deux fois l'année, le paste (repas) aux religieux de Saint- Mihiel qui iront au dit prieuré pour les affaires de leur maison ; 4° enfin que tout ce qui sera dans ledit prieuré à sa mort y restera.

Par des lettres données en 1289, le Duc Ferry certifie qu'André de Bioncourt, chevalier, et la dame Jeanne, sa femme, moyennant cinq muids de vin qu'ils ont reçu des prieurs et religieux de Laître sous Amance, ont permis à ces religieux, ce qu'ils leur refusaient auparavant, de prendre toutes les terres nécessaires pour la vanne de leur moulin, dit « le petit moulin », sur leurs terres et leurs prés et sur les terres et prés de leurs hommes et de leur ban.

En 1371, Jean de Gironcourt, écuyer, vend à Poince de Metz, prieur de Laître, le quart d'un moulin dit le petit moulin, situé « soubs Dommartin soubs Amance », et toutes les dépendances dudit quart, pour vingt petits florins vieux en principal, et deux florins aux vins, de bon or et de juste poids.

Par suite d'une enquête faite le 18 juillet 1433, vingt-sept témoins déposent que tous les héritages d'Amance, de Dommartin sous Amance, de Grand Bouxières, de Seichamps, de Montheu et d'autres bans joignants, qui doivent cens d'ancienneté au prieuré de Laître, lui doivent aussi la dîme, et que personne n'y a jamais demandé ni part ni rapportage.

Par une sentence arbitrale du 23 juillet 1437, les arbitres, vu l'enquête précédente, décident en faveur de frère Jean Gravel, prieur de Laître et contre frère Jean Marcaire, prieur de Lay. que « les dixmes tous et singuliers des terres du lieu de Paliechaye, (ban de Dommartin) que doient ancienes censes à Sainct-Mihiel, qui sunt esté et seront labourées, semencées par les habitans et manans de la villes de Eulmont, appartiènnent et doient appartenir audit prieur dudit prioré de Laistre desoubs Amance, qui est et sera sans en payer ne pourter par le prieur de Lay quelcunque partie ne rapourtaige; et en réintégrons le dit prieur de Laistre, pour lui et ses successeurs, en bonne et vraye possession ».

Le 9 septembre 1592, Charles de Lorraine, cardinal et légat du Saint -Siège, unit et incorpore le prieuré de Laître, vacant par la résignation de François de Seraucourt de Belmont, à la trésorerie de Saint-Mihiel comme ayant droit d'y nommer une fois à cause de sa légation.

L'official de Toul, par une sentence du 5 février 1609, condamne les gouverneurs et les confrères de la confrérie de la Conception de Notre Dame, érigée en l'église du prieuré de Laître sous Amance, à faire célébrer à l'avenir, à l'autel dudit prieuré, la messe haute de ladite confrérie le jour de la Conception de Notre Dame, et le lendemain celle des trépassés, à leurs frais, par le vicaire du prieur, quand il y en aura un résident au prieuré, faute d’icelui, par le vicaire de la paroisse, ou, à leur refus, par tel prêtre que bon leur semblera, le tout conformément à l'ancien usage. Il ordonne ensuite qu'à l'avenir tous les ornements, calices et livres seront communs entre le sieur prieur et son vicaire et le vicaire de la paroisse, sans que l'un y puisse plus prétendre que l'autre, et finalement il déclare que le trouble fait le jour et le lendemain de la Conception par les vicaires et confrères, et le refus des ornements mentionné en une enquête qui se retrouve au procès, ne pourront à l'avenir porter préjudice aux droits et autorités dudit sieur prieur, et ne s'en pourront prévaloir les vicaires du sieur curé d'Amance ni les confrères de la dite confrérie.

La chambre des Comptes de Lorraine rend, le 13 août 1661, un arrêt par lequel, ayant égard à la requête des prieurs et religieux de Saint-Mihiel, prenant le fait et cause de leur fermier résidant à la maison de leur prieuré de Laître, elle déclare ledit fermier franc et exempt de toutes tailles et levées de deniers imposés sur la dite communauté; et ce faisant, ordonne que les meubles sur lui pris pour raison desdites impositions, lui seront restitués par lesdits habitants, et néanmoins sans dépens, à charge que ledit fermier paiera auxdits habitants deux francs pour chacun jour de vignes, et un franc pour chacun jour de blé ou de marsage qu'il a labouré ou labourera des vignes et terres indépendantes de la maison dudit prieuré; à charge aussi qu'il viendra à son tour ou enverra un homme au travail des démolitions de Nancy.

Par une sentence de bailliage de Nancy, en date du 27 juillet 1677, les prieurs et religieux de l'abbaye de Saint-Mihiel sont maintenus et gardés en la possession et jouissance de percevoir les draps mortuaires des corps qui seront enterrés dans l'église ou le cimetière de leur prieuré de Laître. Cette sentence fut confirmée par un arrêt du parlement de Metz, du 5 décembre 1680. Par une autre sentence, du 7 août 1684, il fut stipulé que la totalité du luminaire porté en l'église du prieuré pour les enterrements que s'y feront, ou dans le cimetière, appartiendra au curé; mais que les droits de sépulture et d'enterrement, les draps et les serviettes qui seront sur les cercueils, appartiendront aux habitants de Laître, au prieur et aux religieux de l'abbaye de Saint-Mihiel, comme prieurs de Laître.

Le 28 juillet 1708, dom Mathieu Petitdidier, abbé de Saint-Léopold de Nancy, fondé de pouvoir des abbés et religieux de l'abbaye de Saint-Mihiel, cède en priorité aux habitants de Laître l'église prieurale de ce lieu, à leur prière et pour éviter le procès de ladite abbaye était sur le point d'avoir avec eux touchant cette église, sous les clauses, charges et conditions suivantes : 1° que les dits habitants et leurs successeurs paieront tous les ans auxdits abbé et religieux, entre les mains de leur fermier de Laître, six livres de cire jaune en pain, le jour de Saint-Jean-Baptiste, jusqu'au réachapt, qui se pourra faire par lesdits habitants toutes et quantes fois que bon leur semblera, en payant une seule fois à la dite abbaye la somme de 500 francs, monnaie de Lorraine ; 2° que lesdits habitants feront dans ladite église toutes les réparations nécessaires et l'entretiendront à leurs frais à toujours en bon état ; 3° que les dits abbés et religieux auront, dans ladite église, tous les droits honorifiques et utiles dont ils ont joui auparavant, savoir: des draps mortuaires et de l'ouverture de la terre sainte; 4° que lorsqu'un desdits religieux ira audit Laître pour leurs affaires, il pourra dire la messe au grand autel et se servir des ornements de ladite église, et y aura la place la plus honorable ; 5° qu'à l’égard de leurs fermiers, ils ne pourront avoir place qu'après le sieur prévôt d'Amance, le maire et les échevins dudit Laître, et que le même ordre sera suivi dans la distribution du pain béni.(Pr. de Laître).

Tels sont, outre un grand nombre de titres des XVe et XVIe siècles relatifs à des donations et fondations faites au prieuré de Laître, les documents relatifs à l’histoire de ce prieuré. Supprimé à l’époque de la révolution, comme tous les autres établissements de ce genre, il a été démoli peu de temps après. Fort heureusement, l’église a échappé à la destruction. Ce monument, l’un des plus curieux du pays, a été longuement décrit par M. Aug. Digot, dans un mémoire qui a été inséré dans le 5e volume des Bulletins de la Société d’Archéologie lorraine. J’emprunte à cette intéressante description les détails qu’on va lire:

Ce texte a été repris presque intégralement dans le Bulletin monumental de 1849

« Près de cette pierre, dont l’inscription indique que les travaux considérables exécutés vers la fin du XVe siècle ont eu pour auteur Poire d’Amance, on voit la moitié d’une tombe à peu près semblable, qui recouvrait les restes de sa femme, et une autre tombe brisée qui ne remonte qu’au XVIe siècle (1535). Poiret d’Amance porte une longue robe, et ses pieds, chaussés de souliers pointus, reposent sur le dos d’un lévrier. Cette pierre tumulaire fut autrefois environnée d’une balustrade, et on voit encore les traces des montants »

Il y avait, dès le XIIIe siècle, près du village de Laître, une léproserie ou maladrerie qui appartenait, avec ses biens et revenus, aux Prémontrés de Sainte-Marie-au-Bois près de Pont-à-Mousson. Ils en étaient en possession en vertu d’un acte d’échange, du mercredi après la Toussaint 1280, par lequel ils avaient cédé au duc Ferry « les terres, prés, bois, rentes, censes, droitures et autres choses qu’ils avaient à deux fermes et maisons appelées Rommemont et La Bourde avec circonstances et dépendances, » et avaient reçu dudit duc, en contr’échange, « la maison des Malades de dessous Amance, avec ses appartenances, en terres, prés et vignes, etc ». Les Prémontrés jouirent paisiblement de cette maison et de ses biens jusqu’en 1682, mais, le 25 juillet de cette année, le vicaire général, les commandeurs et chevaliers de l’ordre de Mont-Carmel et de Saint-Lazare, les firent assigner devant la Chambre royale « comme possesseurs et administrateurs des chapelle et maladrerie de l’Estray sous Amance (vulgairement appelée la maladrerie Saint-Nicolas) » pour être condamnés à s’en désister en faveur de ces chevaliers. Ces derniers invoquaient l’édit du Roi du mois de décembre 1672, qui conférait à leur ordre l’administration et la jouissance de toutes les maladreries et léproseries établies dans l’étendue du royaume. Un arrêt du 10 février 1688 fit droit à leurs prétentions, et ils furent mis en possession de la maladrerie de Laître, dont les Prémontrés se virent ainsi dépouillés, nonobstant la donation qui leur en avait été faite par Ferry. (Prémontrés de Pont-à-Mousson.) C’est par suite de l’existence de cette léproserie, que plusieurs cantons de terre des territoires de Laître et d’Amance sont appelés devant les malades, ès-malades, etc.

Une nommée Colatte, veuve de César Lorrette, de Laître, fut exécutée comme sorcière en 1612.

En 1712 la communauté de Laître était composée d’environ 40 habitants, y compris les veuves. En 1768, il y avait 64 feux et 190 communiants.

Ce village appartenait, en 1780, à Pierre, comte d’Ourches, qui, le 30 décembre de cette année, fit ses foi et hommage pour les seigneuries d’Amance, Laître, Bouxières-aux-Chênes et Moulins.

D’après le Pouillé de 1768, le prieuré de Laître était d’un revenu d’environ 1 500 livres, et il y avait, sur le territoire de cette paroisse, un oratoire dit de Saint-Jean-Baptiste, qui dépendait de la commanderie de Saint-Jean-du-Vieil-Aître.

Laître a été érigée en succursale en 1802, avec Dommartin sous Amance.

Patron, saint Laurent.

[1] Histoire de Lorraine, par Dom Calmet.

Neuve-Maison

Cette ferme, qui dépend aujourd'hui de Laître-sous-Amance, était une seigneurie qi appartenait, en 1664, à Anne-Philippe Cueullet, qui en fit ses reprises le 28 novembre de cette année. A la fin du siècle dernier, ce fief était la propriété de la famille Le Febvre de Saint-Germain : le 22 février 1772, Marie-Thérèse Reboucher, douairière de Nicolas Lefebvre, chevalier, Seigneur de Saint-Germain, fait ses foi et hommage à cause du fief de Neuve-Maison, qu'elle possédait patrimonialement.

Lepage 1843

Amance

Bouxières-aux-Chênes

Vous êtes le  ème visiteur depuis le 13 mai 2002

Ce site est un site privé, indépendant des communes et groupements cités.

Blog sur l'actualité d'Amance