Lay par Dom Calmet

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Lay St Christophe par Dom CALMET

Le prieuré de Lay, dans son origine, ne fut pas érigé sous le titre de prieuré, ni sous celui d’abbaye ; on ne le dédia sous l’invocation d’aucun saint particulier ; on n’y destina pas même un certain nombre de religieux, comme cela se pratiquait d’ordinaire dans les autres fondations de monastères. La princesse Eve en fit une offrande à l’abbaye de Saint-Arnou, où son mari Hugues et son fils Arnou étaient enterrés, pour le salut de leurs âmes et de la sienne, pour le rétablissement de cette abbaye, où l’évêque Adalbéron, son parent, venait d’établir depuis peu la règle de Saint-Benoît, enfin, pour l’entretien des religieux qui demeuraient dans l’abbaye, des pauvres qu’on sustentait et des hôtes qu’ou y recevait. Eve avait épousé Hugues, comte du Chaumontois, dont elle avait eu deux fils, Arnou et Udalric. Hugues était mort apparemment dès avant l’an 945...

Ce comte Hugues était de la race de saint Arnou et des rois de France...

Eve et son fils Udalric donnèrent, en 950, au monastère de Saint-Arnou de Metz, la ville ou le château de Lay, que le comte Hugues lui avait cédés pour douaire, avec l’église et tout ce qui lui appartenait au même lieu, où le saint confesseur Arnou avait pris naissance (in qua etiam pretiosissimus confessor et apostolicus presul Arnulphus presentis vitæ nativitatis suæ sumsit exordium). On montre encore aujourd’hui (de 1715 à 1728, temps pendant lequel Dom Calmet fut prieur de Lay), à côté du presbytère de l’église du prieuré, une chambre voûtée en forme de chapelle, du côté du septentrion, que l’on dit être la chambre où saint Arnou prit naissance. Eve se réserva et à son fils Udalric, pendant sa vie, l’usufruit de cette terre, sous la charge de payer tous les ans au monastère de Saint-Arnou une livre d’argent par forme de reconnaissance.

En 959, Udalric étant devenu majeur, confirma, avec sa mère, la donation qui avait été faite, neuf ans auparavant, de la terre de Lay à l’abbaye de Saint-Arnou. Il y répète à peu près les mêmes choses que sa mère avait dites dans la charte de 950; il ajoute que, sur certaines difficultés qu’on formait sur la validité de la première donation, parce qu’alors il n’avait ni l’âge ni le pouvoir de disposer de ses biens, il avait été obligé d’aller trouver le roi Othon 1er, et qu’il avait été mis, par ses ordres, en possession de la terre de Lay, qui était son patrimoine. Il s’engage à donner, avec sa mère, leur vie durant, une livre d’argent à Saint-Arnou, au jour de la fête, et veut qu’après leur mort, la terre demeure en toute propriété à Saint-Arnou. Cette translation se fit le 8 des ides de septembre 959, ou peut-être 969, car le manuscrit des miracles de saint Cloud porte que ce fut l’année 40e d’Adalbéron, qui fut fait évêque en 929, et qu’alors Udalric était archevêque de Reims ; or, il ne fut élevé à cette dignité qu’en 962, et il était très -couvenable, dit un ancien historien, que là où l’on n’entendait que le bruit des armes et des assemblées de noblesse, fût introduit le culte divin, et que ce lieu, honoré par la naissance de saint Arnou, fût rendu vénérable par les reliques de saint Cloud.

Or il est bon de remarquer que les manuscrits de Saint-Arnou et tous les imprimés, portent qu’en transférant à Lay le corps de saint Cloud, on laissa à l’abbaye de Saint-Arnou le chef de ce saint, ce qui peut bien être vrai pour ce qui se passa alors ; mais il est certain que ce chef est aujourd’hui dans la châsse de saint Cloud à Lay, et qu’il n’est point à Saint-Arnou, soit que ce chef ait depuis été apporté à Lay, ou que l’on n’ait pas alors exécuté la résolution qui avait été prise de le laisser à Saint-Arnou.

En 1651, les pères de cette abbaye présentèrent requête au chapitre général de leur congrégation pour obtenir quelques parties des reliques de saint Cloud, disant qu’il ne leur en était resté aucune ; ce qui leur fut accordé, et l’année suivante (1652), les pères de Lay obtinrent de ceux de Saint-Arnou trois petits ossements des reliques de Saint Arnou, par une espèce d’échange de celles de saint Cloud, qu’ils leur avaient données l’année précédente. Enfin, le 28 juillet 1714, on donna, par l’ordre du très R. P. président, à M. Le Vacher, écolâtre de l’église de Ton! , l’os sacrum, que l’on tira de la châsse de saint Cloud ; il l’a fait enchâsser, et il l’a légué, par sou testament, avec son reliquaire, à l’abbaye de Saint-Mansuy. Cc qui est certain, c’est qu’en 1714, le chef de saint Cloud était dans sa châsse, comme il y est encore à présent.

Dès que ce saint corps y fut arrivé, il y eut un grand concours de peuple, et Dieu y fit éclater sa puissance par plusieurs miracles, tant pour récompenser la foi des peuples que pour honorer son serviteur. L’historien de saint Arnou en raconte un bon nombre, que l’on peut. voir dans le livre qui en a été composé, que l’on conserve manuscrit à Saint-Arnou.

On y bâtit alors une église qui n’était pas d’une structure fort magnifique, puisqu’Antoine, prieur de Lay, la détruisit pour en bâtir une nouvelle, qui est celle que l’on voit encore aujourd’hui, qui fut dédiée en 1093, et dont la grandeur et la beauté marquent assez qu’alors le prieuré était très-considérable.

En 1215, sous le gouvernement de  Richer, abbé de Saint-Arnou, sorti de la race des comtes de Bar, et sous Renier, prieur ou administrateur de Lay, le corps de saint Cloud fut tiré de la chasse de bois où il avait été jusqu’alors, et fut mis dans une châsse revêtue d’or et d’argent et enrichie de pierres précieuses ; mais il faut que les malheurs des temps ou quelques nécessités de l’abbaye de Saint-Àrnou ou du prieuré de Lay aient obligé ces religieux à vendre ces riches métaux, et à en dépouiller la châsse de saint Cloud, puisque depuis longtemps ses reliques ne sont que dans une châsse de bois doré : on a seulement un bras couvert de lames d’argent, qui contient un de ses os.

Depuis la fondation du prieuré de Lay jusqu’au XVe siècle, les traités, transactions, donations, échanges, etc., qui se font au profit dudit prieuré, sont toujours au nom et au profit de l’abbé de Saint-Arnou ; quelquefois le prieur de Lay y est nommé, mais l’abbé est toujours la partie principale c’est que les prieurs et les religieux qui y étaient envoyés dépendaient absolument de l’abbé, qui pouvait les rappeler quand il le jugeait à propos. Dans toutes les bulles et confirmations des papes, accordées à l’abbaye de Saint-Arnou, on remarque toujours Lay et ses dépendances comme un bien propre de cette abbaye. Ils sont, notamment, spécifiés dans la confirmation de ses biens par le, pape Léon IX, en 1049 Laium castrurn quod quœdam Eva comitissa contrulit, cum silva quæ vocatur Heis (la forêt de Hey), et cum omni utilitate..., cum ponte etiam et piscatione circa Murt fluvium.

Vers l’an 1080, Antoine, religieux de Saint-Arnou, et natif de Pavie, fut fait prieur de Lay. Il gouverna ce prieuré avec beaucoup de sagesse et d’industrie, renversa l’ancienne église, qui était fort petite et menaçait ruine, et en bâtit une plus vaste. Il augmenta tellement les revenus du prieuré, qu’au lieu qu’auparavant à peine avait-il de quoi entretenir deux ou trois religieux, il y en rassembla sous son gouvernement jusqu’à dix ou douze.

L’église qu’il avait bâtie fut dédiée le 15 des calendes de novembre, c’est-à-dire le 18 octobre 1093, par Pibon, évêque de Tout, et c’est apparamment pendant cette solennité que l’on rapporta dans la nouvelle église le corps de saint-Cloud, et qu’arriva le miracle des trois pierres de taille qui tombèrent de dessus les échafauds au milieu d’une multitude innombrable, sans que personne en fût blessé..

Eu 1130, Bertrand, abbé de Saint-Arnou, ayant demandé à Henri, évêque de Toul, de confirmer ce que son abbaye avait dans son diocèse, le prélat lui accorde un fort beau privilége dans lequel il confirme la liberté dont jouissait le monastère de Lay (Laiense monasterium) et le parvis qui lui était joint, en sorte qu’on ne pourra l’interdire à moins qu’il n’arrive quelque profanation ; il maintient la famille de ce monastère5 c’est-à-dire les prébendiers[1], dans la liberté où ils étaient de ne pas assister au concile ou synode diocésain et d’y rien payer il dit que l’église paroissiale de Saint-Christophe de Lay, qui appartient audit monastère, jouira des dîmes dans les cantons où elle a accoutumé de les percevoir, et que le curé dudit lieu en aura la cinquième partie ; que les offrandes des trois grandes fêtes, savoir Noël, Pâques et la Toussaint, se partageront comme d’ancienneté, en sorte que le curé en aura seulement le tiers et le monastère les deux autres..

En 1205, Mathieu, évêque de Toril, unit à l’abbaye de Saint-Arnou et au prieuré de Lay l’église paroissiale du même lieu, et lui confirme le droit de patronage et de collation[2] de la cure, à condition que cette église demeurera toujours soumise à l’évêché de Toul...

En 1320, Ainard de Porte Trienne ou de Porte Tortone, ayant été pourvu du prieuré de Lay..., s’engage à entretenir dans ce monastère cinq religieux, lui sixième...

En 1330, Edouard, comte de Bar, prend sous sa sauvegarde et protection Alexandre, abbé de Saint-Arnou, et seigneur Richard, prieur de Lay, ensemble tous les biens dépendant de ladite abbaye et du prieuré.

En 1339, Alexandre, abbé de Saint-Arnou, et Nicolas de Monder, prieur de Lay, laissent le prieuré dudit lieu pour l’espace de douze années, afin de le dégager des dettes et usures dont il était accablé ; ils admodient[3] donc tout ce qui lui appartenait à Lay, Eulmont, etc.... Il n’y avait alors qu’un religieux à Lay avec le prieur.

En 1354, Marie de Blois, duchesse de Lorraine, en son nom et au nom de Jean, son fils, prend sous sa sauvegarde et protection les habitants de Lay et Eulmont, pour les défendre et protéger envers et contre tous, hormis les abbés de Saut-Arnou et les prieurs de Lay, à charge par lesdits habitants de payer à ladite dame, par chacun feu, deux sols et demi de fors[4]...

En 1420, Simon de Cherisey, abbé de Saint-Arnou promet à Jacques Marcaire, prieur de Lay de lui laisser la jouissance dudit prieuré pendant sa vie, et lui remet la somme de 40 livres de messins que les prieurs de Lay donnaient par an à Saint-Arnou, et lui permet aussi do faire la justice de Lay. On voit ici dans quelle dépendance les prieurs de Lay étaient alors envers l’abbé de Saint-Arnou, et qu’ils étaient même révocables à sa volonté. Cette somme de 40 livres se payait par forme de reconnaissance tous les ans.

En 1446, Jacques Marcaire admodie son prieuré pour quatorze ans, à charge d’y entretenir un clerc et deux prêtres... Le prieuré était alors accablé de dettes... L’abbé de Saint-Arnou se qualifie seigneur souverain du lieu de Lay.

L’abbaye de Saint-Arnou ayant été ruinée par l’armée du roi de France Charles VII..., l’abbé et les religieux demandèrent au pape Nicolas V l’union du prieuré de Lay à leur abbaye pour jouir de ses revenus pendant 22 ans, afin de pouvoir rétablir leur monastère. Le pape leur accorda cette grâce par une bulle datée du 4 des ides de décembre 1449 ; mais cette bulle n’eut point d’exécution...

En 1464, l’abbé et la communauté de Saint-Arnou renoncèrent entièrement à l’union qui avait été faite du prieuré de Lay à la fabrique[5] de leur église, et consentirent à ce que ledit prieuré fût conféré par le pape en titre ou en commende...

Vers l’an 1525, le pape Clément VII accorda à l’abbé et aux religieux de Saint-Arnou les revenus du prieuré de Lay pour en jouir pendant vingt ans à commencer à la mort des prieurs qui en étaient actuellement en possession, pour être employés à payer les dettes de l’abbaye, qui étaient exorbitantes.

En 1620, M. Antoine de Lenoncourt fit un traité avec les supérieurs généraux de la congrégation de Saint-Vanne pour introduire dans son prieuré de Lay les Bénédictins réformés de cette congrégation, au nombre de huit, leur assignant pour leur subsistance un revenu fixe pris sur les fonds du prieuré ; et le pape Grégoire XV donna une bulle datée du 27 mars 1621, par laquelle il confirme ce traité, ordonnant que ledit prieuré, qui, jusqu’alors, n’avait été desservi que tout au plus par deux prêtres séculiers, serait gouverné dans la suite par huit religieux bénédictins réformés des monastères de Lorraine, qui y chanteraient tous les jours les heures de l’office divin et la messe conventuelle.

Cet établissement des religieux lorrains dans ce prieuré déplut à Valladier, abbé de Saint­Arnou et aux religieux de son. abbaye, c’est pourquoi ils firent, la même année, une cession pure et simple, entre les mains du Roi de France,  de tous les droits de souveraineté qu’ils avaient en la seigneurie et au château de Lay. On a pu remarquer ci-devant qu’en effet les abbés de Saint-Arnou ont joui .assez longtemps des droits de souveraineté qu’ils avaient dans la terre de Lay ; mais ils n’en jouissaient plus alors, et leur donation faite au Roy n’a jamais eu d’exécution...

La peste, la guerre et les autres malheurs qui désolèrent la province en 1635, 1636 et 1637, joints aux difficultés que M. Henri de Lenoncourt, prieur de Lay, fit aux religieux de ce prieuré, furent cause qu’il demeura désert pendant quelque temps...

Dom Augustin Calmet prit possession du prieuré le 12 juin 1715, ensuite de la résignation qui lui en avait été faite par M. François-Philippe Morel, chanoine de Notre-Dame de Paris, aumônier du Roi, etc., moyennant une pension de 5,000 livres...

On a vu plus haut que depuis l’origine du prieuré de Lay jusque bien avant. dans le XIIIe siècle, les traités et autres affaires se passèrent au nom de l’abbé de Saint-Arnou ; si le prieur de Lay y était dénommé, c’était simplement par sa qualité de prieur, et non pas par son nom propre.

Le premier que je trouve est Herimannus prœpositus (1014).

Antoine, natif de Pavie, gouverna le prieuré quelques années avant qu’il fût fait abbé de Senones, en 1098.

1215. Renier, prieur ou administrateur.

1270. Guillaume, prieur de Lay.

1320. Ainard de Porte-Trienne, déposé et, révoqué en 1323.

1326—1330. Richard de Sainte-Geneviève.

1348. Henri de La Grange succède à Nicolas de Moncler.

1348. Enguerrand Piedeschaut de Metz.

1355—1362. Jaquet de Pont-à-Mousson.

1364—1374. Jean de Lucey

1380 Thiébaut Boukin.

1385. Bertrand est menacé des censures par le collecteur du pape pour n’avoir pas payé la moitié des revenus du prieuré.

1394 Jean donna, en 1394, 50 francs d’or pour la componende[6] de la moitié du revenu de son prieuré.

1405. Nicolas Casanius.

1420-1450. Jacques Mercaire (ou Marcaire).

1451. Le cardinal de Sainte-Sabine.

1453. Liébaut de Ville, jusque vers  l’an 1462 ou 1465.

1464 Jean de Lambale, jusque vers 1473.

1466. Cirade, prieur de Fouchier, administrateur pour Jean de Lambale, protonotaire[7].

Dom Jacques, moine vagabond, intrus.

1481, Jean Notarius, abbé de Saint-Symphorien, prieur de Lay jusqu’à sa mort, en 1522.

1522. Jean, cardinal de Lorraine, du titre de Saint-Onuphre, résigne[8] à Jean du Fresneau en 1524.

1524. Jean du Fresneau fut pourvu du prieuré en 1538 ; il n’en prit possession qu’en 1544 . il résigna son prieuré en 1570, on faveur de Jacques Simonet.

1570. Jacques Simonet, mort en 1572. Il est ordinairement appelé messire Jacques.

1572-1636. Antoine de Lenoncourt, depuis primat de Nancy. En même temps, Didier Toussaint, abbé de Saint-Arnou , nomma au prieuré dom Jacques Niclos, un de ses religieux, qui se désista en 1583.

M. Antoine de Lenoncourt obtint, en 1614, pour coadjuteur Dominique Husson, lequel ayant renoncé, M. de Lenoncourt demanda pour son coadjuteur Claude-Théodore de Lenoncourt, son neveu ; celui-ci étant mort en 1633, ce prieur choisit pour coadjuteur, en 1633, un autre de ses neveux, Henri de Lenoncourt, lequel succéda à son oncle, mort en 1636.

1636. Henri de Lenoncourt. En même temps, André Valladier, abbé de Saint-Arnou, nomma Dom Mengin Cordonnier, religieux de son abbaye.

M. Henri de Lenoncourt jouit du prieuré jusqu’en 1645 ; alors il le résigna à M. de Stainville de Couvonge.

1645. M. de Stainville de Couvonge, mort en 1657.

1657. Claude Drouot, officier de la Datterie, obtint du pape le prieuré de Lay en 1657 ; mais M. de Fustemberg, abbé de Saint-Arnou, ayant nommé M. Henri de Salins, Drouot lui remit ses droits en 1668.

1669. Henri de Salins prit possession du prieuré en 1669 et le résigna, en 1694, à M. François-Philippe Morel, qui le résigna, en 1715, à Dom Augustin Calmet.

1715. Dom Augustin Calmet.

1728. Le R. P. Dom Hyacinthe La Faulche.

[1] Ecclésiastique qui, en certaines fonctions, sert au choeur au-dessous des chanoines.

    Se disait aussi de certains pauvres qui étaient nourris des revenus d'une église

[2] droit d'attribuer un bénéfice ecclésiastique

[3]concéder, affermer

[4]

[5] Tout ce qui appartient à une église paroissiale, les fonds et revenus affectés à l'entretien de l'église, l'argenterie, le luminaire, les ornements, etc.

[6]  Office de la cour romaine, où l'on paye les droits du pape pour les grâces qu'il accorde, suivant le prix dont on est convenu avant l'expédition.

[7] Officiers de la cour de Rome qui expédient, dans les grandes causes, les actes que les simples notaires apostoliques expédient dans les petites ; ils sont au nombre de douze, portent le violet et le rochet, et on les compte au rang des prélats.

2° Dans l'Église de France, titre sans fonctions que l'on obtenait par un rescrit du pape.

[8] Se démettre d'un bénéfice, d'un office, etc.

 

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